Foie gras, champagne, bûche... ces repas vont peser sur vos bonnes habitudes alimentaires. Pour ne pas ressentir de culpabilité dès le lendemain de Noël, on s'y prépare !
Alors que vous préparez doucement votre menu de Noël, vous remarquez sûrement qu'entre le 24 et le 31, vos repas seront plus caloriques qu'à l'accoutumée. La faute à qui ? La bûche, le foie gras, les petits fours et les ribambelles de toasts, sans parler des plats de résistance qui seront bien souvent aussi bons que riches. Mais pas de panique, cette semaine gastronomique n'arrivant qu'une fois par an, on peut se permettre des écarts afin d'en profiter pleinement. Le secret ? Savoir s'y préparer quelques semaines à l'avance afin de ne pas ruiner vos efforts quotidiens.
Vous n'affrontez peut-être pas un événement sportif, mais pour les repas de fêtes, il faut également se mettre en condition. Si durant l'année vous aviez pris de bonnes habitudes alimentaires et sportives, il est vrai que cette période peut freiner vos efforts. C'est pourquoi avant même d'être au 24, il faut que vous compreniez que c'est un moment festif annuel, une sorte de récompense bien méritée. Ainsi, les journées à plus de 3 000 calories dans l'assiette ne vous feront pas peur !
Ne débutez pas de régime trop strict maintenant sinon votre organisme, affamé mais aussi frustré et fatigué par les restrictions que vous lui aurez infligé, va se jeter sur les repas gargantuesques de Noël et en stocker une grande partie. Vous allez au final commencer l’année en pleine phase de yoyo et à la mi-janvier vous aurez sans doute même pris quelques kilos par rapport à votre poids de début décembre…
Vous pouvez en revanche soigner votre alimentation pour qu’elle vous apporte toute l’énergie et les nutriments dont vous avez besoin sans exploser la balance : favorisez les soupes, riches en fibres, minéraux, vitamines, rassasiantes et peu énergétiques, et misez tout sur les protéines maigres (volailles, filet de boeuf, poisson) pour rassasier à moindre coût calorique.
Ne supprimez pas les féculents, mais privilégiez ceux qui ont un index glycémique bas comme les légumineuses, le quinoa, le riz complet, et les pâtes al dente. Ils maintiendront votre glycémie stable pour éviter les coups de fatigue et fringales de sucre.
Pensez également aux “bonnes graisses” riches en oméga-3 : poissons gras, oléagineux, huiles de lin ou de colza, etc…
Avant d'aiguiser vos fourchettes et couteaux, pourquoi ne pas opter pour quelques jours de cure ? Basée sur des soupes, des jus de légumes ou même uniquement du thé vert, elle vous préparera en douceur pour cette période festive.
Rien de tel que brûler des calories avant d'en consommer d'autant plus. Avant les fêtes, courir, nager ou juste marcher tous les jours vous relancera sur une bonne routine. Entre chaque repas de famille du 24 au 31, ressortez vos baskets pour aller vous dépenser. Ainsi, vous compenserez facilement, et arrivé en janvier il n'y aura pas à tout reprendre à zéro !
Source : LeGratuit.nc
Alors que vous préparez doucement votre menu de Noël, vous remarquez sûrement qu'entre le 24 et le 31, vos repas seront plus caloriques qu'à l'accoutumée. La faute à qui ? La bûche, le foie gras, les petits fours et les ribambelles de toasts, sans parler des plats de résistance qui seront bien souvent aussi bons que riches. Mais pas de panique, cette semaine gastronomique n'arrivant qu'une fois par an, on peut se permettre des écarts afin d'en profiter pleinement. Le secret ? Savoir s'y préparer quelques semaines à l'avance afin de ne pas ruiner vos efforts quotidiens.
Vous n'affrontez peut-être pas un événement sportif, mais pour les repas de fêtes, il faut également se mettre en condition. Si durant l'année vous aviez pris de bonnes habitudes alimentaires et sportives, il est vrai que cette période peut freiner vos efforts. C'est pourquoi avant même d'être au 24, il faut que vous compreniez que c'est un moment festif annuel, une sorte de récompense bien méritée. Ainsi, les journées à plus de 3 000 calories dans l'assiette ne vous feront pas peur !
Ne débutez pas de régime trop strict maintenant sinon votre organisme, affamé mais aussi frustré et fatigué par les restrictions que vous lui aurez infligé, va se jeter sur les repas gargantuesques de Noël et en stocker une grande partie. Vous allez au final commencer l’année en pleine phase de yoyo et à la mi-janvier vous aurez sans doute même pris quelques kilos par rapport à votre poids de début décembre…
Vous pouvez en revanche soigner votre alimentation pour qu’elle vous apporte toute l’énergie et les nutriments dont vous avez besoin sans exploser la balance : favorisez les soupes, riches en fibres, minéraux, vitamines, rassasiantes et peu énergétiques, et misez tout sur les protéines maigres (volailles, filet de boeuf, poisson) pour rassasier à moindre coût calorique.
Ne supprimez pas les féculents, mais privilégiez ceux qui ont un index glycémique bas comme les légumineuses, le quinoa, le riz complet, et les pâtes al dente. Ils maintiendront votre glycémie stable pour éviter les coups de fatigue et fringales de sucre.
Pensez également aux “bonnes graisses” riches en oméga-3 : poissons gras, oléagineux, huiles de lin ou de colza, etc…
Avant d'aiguiser vos fourchettes et couteaux, pourquoi ne pas opter pour quelques jours de cure ? Basée sur des soupes, des jus de légumes ou même uniquement du thé vert, elle vous préparera en douceur pour cette période festive.
Rien de tel que brûler des calories avant d'en consommer d'autant plus. Avant les fêtes, courir, nager ou juste marcher tous les jours vous relancera sur une bonne routine. Entre chaque repas de famille du 24 au 31, ressortez vos baskets pour aller vous dépenser. Ainsi, vous compenserez facilement, et arrivé en janvier il n'y aura pas à tout reprendre à zéro !
Source : LeGratuit.nc
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