Les fleurs de Bach, on en entend beaucoup parler. Mais savez-vous réellement comment fonctionne ce principe ? Découverte.
Les fleurs de Bach sont des élixirs floraux qui rééquilibrent les émotions. C’est un médecin des années 30, le docteur Eward Bach, qui a créé cette méthode énergétique et vibratoire. Une méthode déjà utilisée par les alchimistes, celle de la solarisation. On prend des bourgeons ou des fleurs qui sont mis dans des contenants et placés au soleil. Tout est calculé : il y a une heure précise, un moment précis, il ne faut pas qu’il y ait de nuages,… L’eau, sous l’effet du soleil, s’imbibe des vibrations de la plante. De là on obtient un élixir-mère qui va être mis dans du brandy (le docteur Bach était anglais…) Il y a 38 élixirs différents, un seul n’est pas issu du végétal, c’est l’eau de roche. « On va utiliser les 38 élixirs selon les émotions de la personne, développe une spécialiste en fleurs de Bach. On peut travailler sur des traits de personnalité ou sur un choc. On ne va pas changer la personnalité de la personne mais la révéler. »
L’éducation, les événements font qu’on va se créer des masques, des couches, un peu comme un oignon. Le but est d’enlever ces couches, savoir qui on est vraiment et être bien avec soi. Lors du premier rendez-vous, la spécialiste échange avec la personne. « On va s’occuper de ses émotions, de son environnement… C’est comme une enquête. Le docteur Bach disait : identifier les causes pour guérir les symptômes. Nous sommes un bel instrument avec plein de cordes, il faut parfois n’accorder qu’une corde, une partie de soi. Une situation va faire sortir cette partie de soi. Mais je dis bien aux personnes qui viennent me voir : vous n’êtes pas ça dans votre globalité. Mon travail est de ramener au présent : qu’est-ce qui vous embête ici, maintenant ? » « Il y a quelques années par exemple, j’ai traité une dame qui avait la phobie des poules ! Petite, elle avait été enfermée dans un poulailler par ses frères. On a guéri cette phobie avec le Mimulus. Autre exemple, un enfant qui a peur du noir, je vais utiliser également du Mimulus. La peur, je peux la nommer, je sais de quoi j’ai peur. C’est concret. »
Une fois les choses dites et les causes identifiées, la professionnelle prépare une fiole dans laquelle elle met de l’eau de source puis l’élixir. « On est là dans la dilution. Plus c’est dilué plus on va aller à la cause première. » Le patient repart avec sa fiole. La posologie est de quatre gouttes quatre fois par jour au minimum. Il peut ensuite en prendre autant qu’il le désire dès qu’il sent qu’il n’est pas bien, qu’il en ressent le besoin. Il n’y a pas de surdosage, pas d’interaction avec d’autres médicaments, pas d’effets secondaires… Le protocole de base est de 21 jours. « Là, on enlève une première couche d’oignon. Si le patient a envie de travailler d’autres émotions, c’est possible. La finalité est d’être en accord avec soi et en paix. C’est tellement intime que chaque personne ressent des choses différentes : certains se sentent libérés, d’autres rassurés…»
Les fleurs de Bach peuvent aussi être appliquées sur le corps pour des brûlures, des piqûres… « Avec les bébés, on met les fleurs de Bach dans l’eau du bain. Ce sera efficace lors du sevrage, si le bébé est agité, s’il a des difficultés à dormir…»
« Dans tous les cas, on travaille ensemble avec le patient, insiste la spécialiste. Je lui fais lire les effets de la plante. Il est important que le patient valide car cela va entraîner des changements. Le potentiel positif est déjà dans la personne ; la fleur permet juste de le révéler. Du négatif, on va vers le positif. Tout est fait en conscience. »
Les fleurs de Bach sont des élixirs floraux qui rééquilibrent les émotions. C’est un médecin des années 30, le docteur Eward Bach, qui a créé cette méthode énergétique et vibratoire. Une méthode déjà utilisée par les alchimistes, celle de la solarisation. On prend des bourgeons ou des fleurs qui sont mis dans des contenants et placés au soleil. Tout est calculé : il y a une heure précise, un moment précis, il ne faut pas qu’il y ait de nuages,… L’eau, sous l’effet du soleil, s’imbibe des vibrations de la plante. De là on obtient un élixir-mère qui va être mis dans du brandy (le docteur Bach était anglais…) Il y a 38 élixirs différents, un seul n’est pas issu du végétal, c’est l’eau de roche. « On va utiliser les 38 élixirs selon les émotions de la personne, développe une spécialiste en fleurs de Bach. On peut travailler sur des traits de personnalité ou sur un choc. On ne va pas changer la personnalité de la personne mais la révéler. »
L’éducation, les événements font qu’on va se créer des masques, des couches, un peu comme un oignon. Le but est d’enlever ces couches, savoir qui on est vraiment et être bien avec soi. Lors du premier rendez-vous, la spécialiste échange avec la personne. « On va s’occuper de ses émotions, de son environnement… C’est comme une enquête. Le docteur Bach disait : identifier les causes pour guérir les symptômes. Nous sommes un bel instrument avec plein de cordes, il faut parfois n’accorder qu’une corde, une partie de soi. Une situation va faire sortir cette partie de soi. Mais je dis bien aux personnes qui viennent me voir : vous n’êtes pas ça dans votre globalité. Mon travail est de ramener au présent : qu’est-ce qui vous embête ici, maintenant ? » « Il y a quelques années par exemple, j’ai traité une dame qui avait la phobie des poules ! Petite, elle avait été enfermée dans un poulailler par ses frères. On a guéri cette phobie avec le Mimulus. Autre exemple, un enfant qui a peur du noir, je vais utiliser également du Mimulus. La peur, je peux la nommer, je sais de quoi j’ai peur. C’est concret. »
Une fois les choses dites et les causes identifiées, la professionnelle prépare une fiole dans laquelle elle met de l’eau de source puis l’élixir. « On est là dans la dilution. Plus c’est dilué plus on va aller à la cause première. » Le patient repart avec sa fiole. La posologie est de quatre gouttes quatre fois par jour au minimum. Il peut ensuite en prendre autant qu’il le désire dès qu’il sent qu’il n’est pas bien, qu’il en ressent le besoin. Il n’y a pas de surdosage, pas d’interaction avec d’autres médicaments, pas d’effets secondaires… Le protocole de base est de 21 jours. « Là, on enlève une première couche d’oignon. Si le patient a envie de travailler d’autres émotions, c’est possible. La finalité est d’être en accord avec soi et en paix. C’est tellement intime que chaque personne ressent des choses différentes : certains se sentent libérés, d’autres rassurés…»
Les fleurs de Bach peuvent aussi être appliquées sur le corps pour des brûlures, des piqûres… « Avec les bébés, on met les fleurs de Bach dans l’eau du bain. Ce sera efficace lors du sevrage, si le bébé est agité, s’il a des difficultés à dormir…»
« Dans tous les cas, on travaille ensemble avec le patient, insiste la spécialiste. Je lui fais lire les effets de la plante. Il est important que le patient valide car cela va entraîner des changements. Le potentiel positif est déjà dans la personne ; la fleur permet juste de le révéler. Du négatif, on va vers le positif. Tout est fait en conscience. »
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